Le paradis, avec Orelsan, puis l’enfer, dans le parking, à Ronquières : l’affiche a ravi mais l’organisation et la mobilité moins pour le premier jour du festival au pied du plan incliné.
Deux heures dans la voiture, sans pouvoir bouger d’un pouce : c’est le témoignage rapporté par de nombreux festivaliers qui après le concert ne rejoignaient pas le camping mais bien leur voiture. Absence de personnel dans le parking, mauvaise organisation, l’organisation est pointée du doigt.
Alors que le concert d’Orelsan se terminait à 0h30, il aurait fallu attendre 3h pour que la situation commence à se débloquer.